REVES OU FOLIE DES GRANDEURS LA FRANCE

VEUT SE PREPARER A LA GUERRE DES ETOILES

Dans le cadre de la «Défense active des satellites, de commandement unifié », de nouveaux investissements ont été présenté par la ministre des Armées, Florence Parly, pour une nouvelle stratégie spatiale de défense qui replace l'armée au centre du jeu extra-atmosphérique.

Rappel historique en 1967, la communauté internationale entière se mettait d’accord pour que l’humanité tout entière tire profit de la conquête spatiale.

Une grand traité signé cette année-là qui est toujours en vigueur !

Ce dernier parlait avec emphase de « l’utilisation pour le bien de tous les peuples et à des fins pacifiques de l’espace ».

Or changement radical un demi-siècle plus tard, l'espace semble désormais aux yeux des politiques et des militaires le quatrième milieu, au sens militaire, après la terre, la mer et l’air.


Dans Un objectif de guider ou détecter des missiles, pour communiquer, pour faire du renseignement et de l'espionnage des autres, les armées dépendent largement de l’espace extra-atmosphérique,

Comme les Américains et les Russes, la France entend désormais investir militairement l'espace.

Actuel ministre des Armées, Florence Parly, a présenté à Lyon la nouvelle «stratégie spatiale de défense», voulu par Emmanuel Macron qui en avait déjà émis l'idée il y a près d'un an de cela.

La France ne se lancera pas dans la destruction de satellites, comme l’ont fait la Chine, les Etats-Unis ou plus récemment l’Inde, mais se lancera dans une surveillance et des objectifs très militaires cependant.

La France ne mettra pas en orbite des armes de destruction massive, lasers aveuglants ou nanosatellites offensifs, prohibées par le Traité de 1967 et ratifiées par l' Etat Français,

La France a pourtant l’intention de poursuivre la militarisation et de se lancer dans l’arsenalisation de l'espace.

Premier objectif la protection des satellites français, assure le ministère des Armées.

En effet Florence Parly avait révélé qu' « en janvier  le satellite espion russe Louch-Olympe s’était discrètement approché de l’Athena-Fidus, utilisé pour les télécommunications, notamment militaires, de la France et de l’Italie ».

Dans un cadre de «défense active», Emmanuel Macron, veut par des caméras de surveillance bientôt embarquées sur Syracuse (dispositif central pour les communications de l’armée française) protéger et surveiller l'espace, afin de détecter les approches.

A partir de 2023, la France envisage de ne plus respecter le traité de 1967 en utilisant des lasers aveuglants, des mitrailleuses pour briser les panneaux solaires alimentant les intrus, des « nuées de nanosatellites guetteurs» déployées autour des dispositifs les plus stratégiques.

Bonjour la pollution de l'espace qui est déjà bien encombré par tant de déchets en orbite basse et moyenne et voilà un bel exemple d 'écologie dont Emmanuel Macron sait si bien parler !!

Florence Parly a reconnu que « la France avait pris du retard en matière de lasers de puissance », mais qu'elle allait «combler le retard de la France dès 2025, ce qui aura un coût de 700 millions d’euros »

Cette dépense s’ajoute aux 3,6 milliards d’euros déjà prévus pour le spatial dans la loi de programmation militaire pour une enveloppe globale des armées.

En comparaison avec les investissements des grandes puissances : chaque année, les Etats-Unis y consacrent 50 milliards de dollars, la Chine 10 milliards et la Russie 4 milliards.

Florence Parly veut plus d’autonomie, et donc devenir un «opérateur spatial», au sens de la loi de 2008 qui régule jusqu’ici les activités extra-atmosphériques.

Le gouvernement n’exclut pas une modification législative.

Le rôle du Centre national d’études spatiales (CNES), une administration civile, sera dès lors réduit s’agissant des activités militaires.

Un grand commandement de l’espace doit aussi être créé le 1er septembre, comptant 220 personnes au début, pour rationaliser la gouvernance, et à terme, l’armée de l’air deviendra «l’armée de l’air et de l’espace».

La ministre des Armées Florence Parly veut réguler l’activité spatiale au-delà de son strict périmètre, allant même jusqu'à  donner un avis conforme pour toute activité extra-atmosphérique, même privée !

Florence Parly veut enfin bénéficier des progrès de l’imagerie satellite commerciale en achetant des services d’observation terrestre, en complément des moyens dont elles disposent (les satellites CSO du programme Musis), mais aussi de « limiter l’usage, afin que ces images haute définition très bon marché, parfois même gratuites, ne finissent pas dans toutes les mains » !

Florence Parly désire « interdire aux Etats achetant du matériel français de photographier certaines zones, singulièrement les déploiements des forces françaises en opération » !

La France oublie que l'espace ne lui appartient pas et la NASA, les compagnies comme « SpaceX », « Virgin Galactic », « Blue Origin », « Boeing » et tant d'autres se moquent bien de l'avis de la France, voilà  une raison de plus pour que Donald Trump se fâche, la France devrait bien en prendre conscience !!

Une évidence qui ne fait plus aucun doute, après la Taxe Gafa, et maintenant l'espace. Si la France et ses dirigeants ne changent pas radicalement de comportement, les mesures de rétorsion vont prendre une autre dimension, pourtant dès 1668 le Français Jean de la Fontaine célèbre auteur écrivait la fable « La Grenouille qui se veut faire aussi grosse que le bœuf » cette dernière devrait pourtant bien inspirer la France

L'espace n'appartient pas à la France, elle n'est pas non plus le maitre des lieux, elle ne possède ni force ni lois légitimes sur l'espace, elle n'as pas plus de droit sur l'espace que les autres Etats de la planète, force est de penser que si d'autres formes de vie dans l'univers existent, elles se moquent bien des règles que la France voudrait leur imposer, les organes des autres Etats comme la NASA, JAXA …, ainsi que entreprises privées comme « SpaceX », « Virgin Galactic », « Blue Origin », « Boeing » n'ont pas à se soumettre a la France !!!

Donald Trump est patient mais la patience a ses limites. Souhaitons qu 'il n'en arrive pas à dire comme «Rambo» : « ça va chier » car on sait que cela va faire très mal pour ceux qui cherchent à s'attaquer à l’Amérique !!!!

Simon Freeman Washington pour DayNewsWorld